• Pour réaliser ce gommage "tendresse", rien de plus simple:

    2 cuillères à soupe de miel ( de France, bien sûr!)

    1 quart d'un jus de citron bio

    1 cuillère à soupe de sucre brun

     

    Mélanger les ingrédients dans un bol.

    Déposer une cuillerée à café de cette préparation sur une peau propre.

    Masser avec des mouvements circulaires.

    Laisser poser quelques minutes.

    Rincer à l'eau tiède.

     

    PS: A renouveler deux ou trois fois par semaine!

    Ce mélange est à conserver au réfrigérateur.

     

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    UN TOIT POUR LES ABEILLES
    L'entreprise Un toit pour les abeilles propose aux particuliers ( et aux entreprises aussi!) de parrainer une ruche.
      
      
      
    Le concept ?
    Tous les mois on verse à Un toit pour les abeilles une somme prédéfinie qui permet de mener des actions de protection des abeilles, très en danger actuellement.
    En échange de cette somme, vous recevez les pots de miel produits par la ruche que vous parrainez. Tout le monde y gagne donc !

    Combien ?
    Le parrainage est abordable: à partir de 7€ par mois pour les particuliers.

    Comment ?
    On va sur le site et on choisit la formule qui nous convient (quatre tarifs existent par exemple pour les particuliers ) : http://www.untoitpourlesabeilles.fr/reserver-ruche-ecolutis.php
      
      
      
    4 000 abeilles parrainées
    (soit 10 % d’une ruche)
    =
    une ruche à votre nom
    +
    le suivi annuel et les photos de la ruche sur notre site*
    +
    6 pots de miel de 250 g par an avec votre nom
    ou au nom de votre choix**

    ruche entreprise ruche entreprise ruche entreprise
    * mise en place des abeilles, récolte du miel...
    *
    * pour faire un cadeau par exemple
     
         



      Vous parrainez Vous recevrez Le montant de votre
    parrainage est de
     
    4 000 abeilles
    6 pots de 250g par an 7 €/mois TTC *
    soit 84 € sur une année
      8 000 abeilles 12 pots de 250g par an 12 €/mois TTC *
    soit 144 € sur une année
      12 000 abeilles 18 pots de 250g par an 18 €/mois TTC *
    soit 216 € sur une année
      16 000 abeilles 24 pots de 250g par an 24 €/mois TTC *
    soit 288 € sur une année
    * de façon à pouvoir installer la ruche et laisser le temps aux abeilles de faire leur travail, nous vous demandons un engagement minimum d'un an (possibilité de paiement à l'année, mensuel...).

      
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  • La carte de la cyber-censure

    La carte de la cyber-censure
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  • Le Prix du Net-citoyen 2012 décerné aux militants syriens

    Le Prix du Net-citoyen 2012 décerné aux militants syriens

    Publié sur le site de Reporters sans frontières le lundi 12 mars 2012. Mis à jour le mardi 13 mars 2012.
     

    Voir toutes les photos de la soirée

    Reporters sans frontières, avec le soutien de Google, a remis son Prix du Net-citoyen 2012 aux Centres des médias des comités locaux de coordination en Syrie.

    Les centres des médias des comités locaux de coordination en Syrie regroupent des journalistes-citoyens pour rassembler, et diffuser, en temps réel, informations et images sur la révolte populaire syrienne. Jasmine, une jeune militante syrienne de 27 ans qui réside au Canada, a accepté de recevoir ce prix au nom de tous les militants qui continuent d’agir au sein du pays.

     

    Prix duNet-citoyen

    Reporters sans frontières, avec le soutien de Google, a remis son Prix du Net-citoyen 2012 aux Centres des médias des comités locaux de coordination en Syrie.

    Les centres des médias des comités locaux de coordination en Syrie regroupent des journalistes-citoyens pour rassembler, et diffuser, en temps réel, informations et images sur la révolte populaire syrienne. Jasmine, une jeune militante syrienne de 27 ans qui réside au Canada, a accepté de recevoir ce prix au nom de tous les militants qui continuent d’agir au sein du pays.


     

     

    Winner

     

     

    “Le prix du Net-citoyen prouve que nos voix ont été entendues et que nous avons réussi à faire connaître l’histoire de millions de syriens qui se battent sur le terrain pour obtenir ce dont ils ont toujours rêvé : vivre dans la liberté et la dignité,” déclare Jasmine. “Je vous remercie pour ce prix, qui est la reconnaissance de nos comités locaux comme de véritables organismes de presse.”

    Les journalistes et blogueurs syriens sont menacés et arrêtés par le gouvernement. Les médias internationaux sont, pour la plupart, tenus à l’écart du pays. En leur absence, ces comités représentent presque le seul moyen de tenir le monde informé de la violence qui ravage le pays. Ils ont émergé spontanément au début de la révolte syrienne en mars dernier, et rassemblent des militants des droits de l’homme aux côtés de journalistes locaux ; ils sont désormais présents dans la plupart des villes à travers le pays.

    Des informateurs sur le terrain envoient les informations aux comités qui les confirment à partir de plusieurs sources. Un troisième groupe est chargé de les traduire en anglais et de les publier sur le site internet. Des vidéos et des images sont également postées sur Facebook et sur un blog de photos.

    “Il y a des millions d’histoires qui nous font rire, pleurer, nous inspirant des sentiments mitigés depuis que la révolte a commencé” explique Jasmine. “Nous nous sommes entretenus avec une mère dont les trois enfants étaient détenus, et elle nous a fait promettre que quoi qu’il puisse se passer, nous ne cesserons jamais de relayer les événements de notre bien-aimée Syrie.”

    Le prix du Net-citoyen a été décerné à l’occasion de la Journée Mondiale contre la cyber-censure, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée à Paris. Pour cette édition 2012, les nominés venaient des quatre coins du monde, de la Russie à la Syrie en passant par le Brésil et la Chine. Une diversité géographique qui est le reflet de l’impact toujours plus grand d’Internet. Une fois connecté, chacun d’entre nous a le pouvoir de partager ses opinions et ses observations avec le reste du monde.

    Reporters sans frontières rappelle toutefois que la liberté d’information reste fragile et qu’elle est plus que jamais menacée. 200 net-citoyens ont été arrêtés en 2011, soit 30% de plus que l’an dernier, 5 ont été tués et plus de 120 d’entre eux sont actuellement emprisonnés pour avoir exprimé librement leur opinion en ligne.

    “S’ils sont à ce point pourchassés, c’est bien parce que les net-citoyens sont devenus indispensables au processus de collecte de l’information”, déclare Dominique Gerbaud, président de Reporters sans frontières. “Et les dirigeants l’ont bien compris, en mettant en place des appareils de censure et de surveillance de plus en plus sophistiqués et efficaces, et une répression toujours plus forte. Plus que jamais, Reporters sans frontières est fière d’avoir créé un prix, avec le soutien de Google, qui salue et récompense le courage des net-citoyens.”

    Aujourd’hui, 40 pays se livrent à la censure sur Internet contre 4 il y a 10 ans. Les produits et services Google sont bloqués dans 25 des 125 pays où l’entreprise est présente.

    “Internet permet à des individus courageux de pouvoir raconter leur histoire au monde entier, qu’ils soient en Syrie ou partout ailleurs,” déclare Jean-Marc Tassetto, Directeur Général de Google France. “Le prix du Net Citoyen, fruit de notre collaboration avec Reporters sans frontières, témoigne parfaitement de notre conviction première : l’accès à l’information permet une plus grande liberté et favorise le développement économique et social.”

    Reporters sans frontières a inauguré pour la première fois en 2008 la Journée Mondiale contre la cyber-censure, dans le but de préserver un Internet unique, libre et accessible à tous. Google s’est associé à Reporters sans frontières en 2010 pour décerner le Prix annuel du Net-citoyen, qui récompense un internaute, un blogueur ou un cyber-dissident qui s’est illustré par ses activités de défense de la liberté d’expression sur le Net. Un jury international composés de spécialistes de l’information, de blogueurs et de représentants de Reporters sans frontières ont voté pour choisir le lauréat qui se voit remettre un prix de 2500 euros.

    En 2010, le Prix du Net-citoyen avait été attribué à des cyber-féministes iraniennes. L’an dernier, le prix est revenu à Nawaat.org, un blog collectif indépendant animé par des blogueurs tunisiens.

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  • Emmaüs : des alternatives au quotidien

    Article paru sur le site d' Emmaus 

    Face au marché globalisé, défavorable aux plus pauvres, Emmaüs met en place des modes d’actions qui font leurs preuves. Alors que la crise s’installe, c’est le moment de les redécouvrir.

     

     

    Emmaüs : des alternatives au quotidien
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    portfolio Emmaüs : des alternatives au quotidien

     

    on connaît Emmaüs, le mouvement de solidarité, dernier rempart contre l’exclusion. On connaît moins le projet social sur lequel il repose et ses alternatives de vie. Son modèle, fondé sur la récupération d’objets et permettant de remettre des hommes cassés par la vie en activité, tout en les rendant acteurs de solidarité, démonte les ressorts du système actuel: l’individualisme forcené, le culte de la performance et le gaspillage sans fin. Ceci en fonctionnant en grande partie sur des ressources non monétaires, comme le don et le bénévolat.

    Capacités des plus faibles

    Alors que nos sociétés favorisent les hiérarchies en place, selon le principe de la loi du plus fort, Emmaüs parie sur les capacités des plus faibles. Bernard Arru en a eu l’intuition en créant une communauté et des structures d’insertion dans les Deux-Sèvres: «Nous accueillons des personnes ayant des troubles psychologiques, des gens de la rue… Cumuler autant de fragilités, ça ne devrait pas marcher; et ça marche quand même! Il se dégage une alchimie qui nous épate tous.» La recette ? «Si la personne ne trouve pas son autonomie tout de suite, nous lui laissons le temps. Un compagnon qui devient salarié en insertion a la possibilité de revenir à la communauté s’il ne se sent pas prêt, sans que cela soit vécu comme un échec.» C’est la notion de parcours qui prime.

    Prendre les gens comme ils sont

    Face au gaspillage généralisé, Emmaüs se pose en pionnier de la récupération, du réemploi et du recyclage. Jusqu’à envoyer des ordinateurs et des téléphones portables en Afrique pour financer des projets sociaux, tout en restant
    écologiquement responsable. «Un atelier de dépollution sépare les déchets toxiques de ceux qui peuvent être récupérés, avant de les rapatrier en France pour être retraités», explique Bernard Arru. Un pied de nez ultime à la société de consommation, qui se soucie peu de la fin de vie de ses déchets, de surcroît en Afrique ! «Nous pouvons le faire car nous n’avons pas l’objectif de générer des profits pour des actionnaires. Mais de réinvestir nos bénéfices dans des projets créateurs d’emplois et respectueux de nos valeurs.»

    Dernier service gratuit

    Même philosophie chez les SOS familles Emmaüs, l’un des derniers services gratuits de la société destinés aux personnes en difficulté. «On prend les gens comme ils sont, quand leur budget est déséquilibré; cela leur évite la dégringolade vers le surendettement», précise Brigitte Richardot, présidente du SOS familles Emmaüs de Lyon.
    L’association, qui fonctionne avec des bénévoles, propose des avances sans frais et sans intérêt ! « Nous sommes les seuls sur ce créneau car tous les services sont payants aujourd’hui. Nous servons de tampon entre une société de
    consommation qui pousse les gens à tous les excès et ses règles strictes auxquelles on ne peut plus déroger (comme les factures, les huissiers…). Au niveau social, économique, financier et écologique, Emmaüs trace ainsi des pistes pour mettre l’être humain en capacité de mieux vivre.

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  • Créer des emplois en banlieue

    article paru sur le site d' Emmaus 

    Une nouvelle boutique Emmaüs a ouvert à Cronenbourg, dans la banlieue de Strasbourg, en zone urbaine sensible. En plus d’être un débouché idéal pour les vendeurs en contrats aidés d’Emmaüs insertion Mundolsheim, ce commerce de proximité rend les produits de consommation courants plus accessibles aux familles du quartier.  

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    Méli-Mélo permet de toucher un public qui a peu de moyens et d'offrir un parcours d'insertion complet aux personnes en contrat aidé.
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    portfolio Emmaüs : des alternatives au quotidien portfolio Emmaüs : des alternatives au quotidien portfolio Emmaüs : des alternatives au quotidien portfolio Emmaüs : des alternatives au quotidien portfolio Emmaüs : des alternatives au quotidien

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    « On dirait une boutique du centre-ville ! » La moquette de récupération a de l’allure, la peinture des murs couleurs beige et chocolat donne du caractère : la boutique Méli-Mélo, qui a ouvert sur 100 m2, dans une cité de Cronenbourg, près de Strasbourg, était pleine à craquer le jour de son ouverture, le 6 avril. « Nous voulions sortir du côté misérabiliste », explique Thierry Kuhn, le directeur du chantier d’insertion Emmaüs Insertion Mundolsheim, dont la boutique est une émanation. « Nous proposons de tout, du canapé au petit électroménager, en passant par le matériel de puériculture : des objets d’occasion de qualité vendus à petits prix.»

    S’adresser aux femmes et aux familles

    Objectif principal : toucher un public qui a peu de moyens. Dans la Zone urbaine sensible (Zus) de Cronenbourg, le taux de chômage atteint 30 à 35%. « Nous voulons nous adresser notamment aux femmes et aux familles qui n’ont pas la possibilité de se déplacer », poursuit Thierry Kuhn.

    Le sous-sol de la boutique est entièrement consacré à la puériculture, aux jouets et aux vêtements pour enfants dont le prix ne dépasse pas 5 euros ! Au rez-de-chaussée, on trouve des objets utiles mais aussi de quoi se laisser aller à « l’achat plaisir » : des bibelots, des bijoux… Méli-Mélo se veut aussi un commerce de proximité. Le centre commercial de la cité ne dispose que d’une pharmacie, d’une Poste et de commerces d’alimentation. La boutique Emmaüs apporte un peu de vie, de lien social, et prouve que l’on peut créer de l’emploi dans les quartiers dit prioritaires.

    Un parcours d’insertion idéal

    Pour Emmaüs Insertion Mundolsheim, Méli-Mélo représente une fin de parcours d’insertion idéale. C’est un lieu de formation et de qualification. Après avoir fait du tri et de la vente dans la salle de vente Emmaüs, et après avoir suivi une formation qualifiante d’employé de commerce en magasin, le salarié en insertion occupe un poste de vendeur en boutique. Il agit pendant six mois dans des conditions réelles. « Pour une première expérience, c’est un "plus" valorisant sur un CV : il s’agit d’une vraie mise en situation qui permet le contact avec le public », commente Marc Meyer, responsable de la boutique, secondé par deux personnes en contrat d’insertion.

    Lui-même a été en contrat aidé pendant deux ans, après cinq années de chômage. « Au départ, je n’avais pas le choix, se souvient Marc, âgé aujourd’hui de 49 ans. J’ai pris un emploi aidé car il fallait que je travaille à tout prix. Aujourd’hui, je suis en contrat classique, je me sens utile et je suis davantage considéré dans mon travail que pendant les 17 ans que j’ai passés en usine ! Je me sens mieux dans ma peau, c’est important ».

    Une boutique expérimentale

    La boutique Méli-Mélo reste expérimentale avec, pour l’instant, un bail d'un an. Dans la perspective de maintenir le commerce de proximité dans les quartiers et de favoriser l’insertion professionnelle des habitants, elle est soutenue financièrement par la ville de Strasbourg et la Communauté urbaine de Strasbourg (Cus) à hauteur de 25 000 euros. L’ambition est de s’autofinancer dans trois ans.

    Les habitants du quartier peuvent adresser des candidatures pour des emplois en insertion de livreurs, trieurs et vendeurs au chantier Emmaüs Insertion Mundolsheim. Ces débouchés intéressants n’ont pas échappé aux collectivités locales, qui ont déjà demandé à la structure d’insertion d’essaimer des boutiques dans d’autres quartiers.

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  • Pour les plus exclus, chaque heure compte

    article paru sur le site d'Emmaus 

     

    Emmaüs Défi propose des contrats d'insertion dont la durée s’adapte aux besoins de chacun. Des sans-abri retrouvent ainsi un emploi. 

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    Au départ, personne n’y croyait. Aujourd’hui, on les appelle d’Italie ou d’Allemagne pour en savoir plus sur leur dispositif : le « travail à l’heure » qui conduit les plus exclus vers le chemin de l'emploi. Le chantier d’insertion Emmaüs Défi expérimente cette formule innovante depuis 2009. « Nous sommes partenaires d’éducateurs de rue qui vont à la rencontre des sans-abri assis sur leur carton, explique Hélio, chargé de projet. Quand ils leur proposent de travailler, les gens leur rient au nez et certains essayent quelques heures… Contrairement aux idées reçues, la personne accroche très vite à l’activité. C’est magique ».

    Un contrat de 16 heures par mois

    « Si nous souhaitons recruter les gens qui n’ont pas travaillé depuis longtemps et qui figurent parmi les plus exclus, il faut pouvoir adapter la durée des contrats aux rythmes des personnes, explique Catherine Paquemar, responsable de l’accompagnement. Le contrat à l’heure est une amorce d’une grande souplesse vers l’emploi en insertion ». Au départ, les gens signent un contrat de 16 heures par mois. Ils travaillent donc quatre demi-journées par mois. Ensuite, pas de critère de progression : la personne peut rester sur cette formule pendant un an si elle en a besoin, ou passer progressivement à un contrat de 20 heures par semaine… Dès qu’elle parvient à enchaîner trois demi-journées sur une semaine, un contrat d’insertion de 24 heures par semaine sur 6 mois peut lui être proposé. Déjà 40 personnes sont passées par ce dispositif. Les salariés restent ensuite en contrat d’insertion en moyenne de 15 à 21 mois.

    Recevoir une feuille de paye

    Devant un tel succès, la mairie de Paris a décidé de soutenir ce dispositif. Depuis le mois de juin, elle prend en charge, indirectement, le financement de l’association intermédiaire qui délivre les contrats à l’heure. « Les éducateurs de rue accompagnent les salariés employés à l’heure, lors des matinées de travail : c’est le plus important, note Hélio. Passer quatre heures à travailler ensemble, cela déclenche plus de choses que derrière un bureau ou dans la rue. Là, ils sont à égalité». Autre bouleversement : la personne change de statut : « Elle entre dans la société en recevant une feuille de paye, ça change tout ! lance Hélio. Cela signifie que dans les deux mois qui suivent, elle peut prétendre à un hébergement. Le service social de la mairie nous trouve régulièrement des chambres d’hôtel. » Disposer d’un toit reste une condition nécessaire pour signer un contrat d’insertion. « Nous ne voulons pas mettre les personnes à nouveau en échec », explique Hélio.

    Avancer dans la vie

    Ahmed, 27 ans, vit cette situation. Arrivé le 9 décembre, il a commencé avec un contrat de 16 heures et travaille maintenant 24 heures par mois. « Je suis encore hébergé par le 115. J’attends de trouver une chambre pour être embauché. Mais tous ces contrats me permettent d’avancer dans la vie. » Lui qui avait commencé à boire dans la rue, « pour oublier des trucs », ne touche plus à l’alcool depuis le 31 décembre. Il garde le sourire : « avoir un contrat en insertion, cela signifie qu’on peut trouver ensuite un vrai travail ou une formation pour faire ce qui nous plaît. » Lui voudrait devenir coiffeur.

    « Ils veulent retrouver une dynamique »

    Le combat d’Emmaüs Défi n’est pas terminé. La structure, qui a obtenu de la souplesse sur un contrat de courte durée, voudrait maintenant décrocher, pour les personnes qui sont entrées en insertion par « le travail à l’heure », une durée plus longue que les deux ans pratiqués ordinairement. La raison est simple : pour certains, un contrat de travail de 24 mois est insuffisant pour régler des problématiques profondes, comme les addictions ou le fait de vivre seul dans un appartement. « Certains ont pris un virage à 180 degrés dans leur vie, argumente Catherine Paquemar. Ils viennent ici car ils sont motivés : ils veulent retrouver une dynamique et ne pas rester dans l’assistanat. Nous ne pouvons pas les laisser comme ça en cours de route ! »

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  • Article paru sure site de l'Armée du Salut

     

    Construire l’avenir avec les enfants et les jeunes

     

     

    A l’occasion des prochaines élections présidentielles, les principales associations du secteur sanitaire et social formulent des propositions en faveur d’une véritable politique de la petite enfance, de l’enfance et de la jeunesse et d’un accès aux droits fondamentaux reconnus par la Convention internationale des droits de l’enfant.

    L’ensemble de ces propositions est regroupé dans une plateforme visant à favoriser l’accès du plus grand nombre d’enfants au droit à l’éducation, puis à l’autonomie et à l’émancipation, en évitant que les difficultés économiques et sociales ne viennent nuire à leur développement. Ces propositions soulignent, en outre, que l’enfant doit être partie prenante, avec ses parents, dans les choix qui le concernent.

    Cette plateforme, consciente que les enfants d’aujourd’hui sont les adultes de demain, est construite autour de quatre grands axes, considérés comme un investissement pour l’avenir :

    Le droit à l’éducation dès la petite enfance : Il faut changer de manière de concevoir l’accueil du jeune enfant avant et pendant son accueil à l’école maternelle. Sans oublier l’indispensable formation des professionnels œuvrant auprès de ce jeune public.

    La mise en place de projets éducatifs territoriaux et globaux : Il faut permettre une mobilisation de tous les acteurs et encourager la construction de passerelles destinées notamment aux plus vulnérables, pour rendre effectif l’accès au droit à l’éducation.

    La facilitation de l’accès à l’autonomie des 16-18 ans qui s’engagent dans des parcours de formation : La plateforme insiste sur la nécessité que durant ce cursus, les jeunes soient accompagnés vers leur vie d’adulte, en cohérence avec la précédente plateforme « Pour un Big Bang des politiques jeunesses » (http://www.armeedusalut.fr/espace-presse/communiques-de-presse/communique/pour-un-big-bang-des-politiques-jeunesse.html).

    Le développement d’actions de type « réparatrices » dans le cadre de la justice des mineurs : Il faut prendre en compte l’histoire du mineur, sa capacité de changement et préserver le temps éducatif. La plateforme rappelle, par ailleurs, qu’il est nécessaire d’adapter la sanction au délit commis.

    Enfin, au-delà de ces quatre axes, la plateforme milite pour l’instauration d’une grande loi cadre, civile et pénale, aboutissant à un code de l’enfance.

    Plus d’info : www.uniopss.asso.fr

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  •  affiche 

    7 grands mouvements français de défense des animaux, dont la Confédération Nationale des SPA de France, se mobilisent et s'unissent pour exposer nos revendications à l'ensemble des candidats. A cette occasion, un rassemblement national sera organisé à Nîmes le samedi 24 mars 2012 pour la présentation officielle d'un manifeste en direction des candidats.
    Nous attendons des propositions et surtout des réponses. Les candidats doivent prendre conscience que c'est un enjeu sociétal : le bien-être des animaux, c'est l'avenir des hommes.


    Nous avons besoin de vous ! Aidez-nous à diffuser l'information et venez marcher pour les animaux à nos côtés le 24 mars 2012 à Nîmes.

    Le Transport

     
    Au départ de Marseille
    La SPA de Marseille-Provence organisera un transport en bus au départ de Marseille. La participation financière s'élève à 10 euros. Les inscriptions se feront à partir du 1er février 2012.
    En fonction des demandes, un arrêt peut être envisagé à la gare TGV d'Aix.

    Pour en savoir plus, merci de les contacter par téléphone : 0820 820 896
    ou par mail : contact@spa-marseille.com>


    Au départ de Lyon
    La Confédération Nationale des SPA de France organise un transport en bus au départ de Lyon. Une participation financière de l'ordre de 10 euros sera demandée.

    Pour toute demande liée au transport :
    nos-voix-pour-les-animaux@lesspadefrance.org>

    Téléchargez le formulaire d'inscription



    Retrouvez toutes les informations pratiques sur le site officiel de l'évènement

     

     

    banniere-2012-nos-voix-pour-les-animaux

     
     
     
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  •  Résumé de l'ouvrage:

    En période de sexualité triomphante, la virginité féminine a-t-elle vraiment perdu toute signification et toute valeur ? Ou bien, malgré la libéralisation des moeurs, malgré les combats pour la libération des femmes, malgré la féminisation de notre société, continue-t-elle à occuper une place symbolique à part ? Certes, les féministes ont raison d'y voir une invention et un fantasme masculins, mais pourquoi les hommes ont-ils éprouvé ce besoin ? Et pourquoi y renonceraient-ils aujourd'hui ? Suffit-il de dévoiler un fantasme pour qu'il disparaisse ? Et, du côté des femmes, comment oublier que bon nombre de jeunes filles ont, pendant les siècles chrétiens, préservé leur virginité comme une forme de liberté et comme une source de pouvoir, exprimant grâce à elle leur part d'autonomie et d'initiative, leur " virilité " ? On peut citer Geneviève de Paris, Catherine de Sienne, Jeanne d'Arc, Thérèse d'Avila, Élisabeth 1ere d'Angleterre.
    D'où leur venait cette assurance et comment expliquer leur rayonnement ? Et aujourd'hui, qu'avons-nous mis à la place ? Qu'est devenue la virginité pour les filles, les femmes et les hommes d'aujourd'hui ?

     

     

     

    L’historienne et féministe Yvonne Knibiehler livre ici un essai surprenant sur la virginité, une affaire loin d’être aussi désuète qu'il n'y paraît!

     

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