• Yahoo!

    votre commentaire
  • Yahoo!

    votre commentaire
  • Yahoo!

    votre commentaire
  • Article paru sur le site wamiz le 8 décembre 2015

     

    Aux 4 coins du pays, des milliers d'animaux s'apprêtent à passer Noël derrière les barreaux d'un refuge. Pour aider ces chiens et chats délaissés parce qu'ils sont âgés, malades, handicapés, trop grands ou encore trop craintifs, et dont l'association est aujourd'hui la seule famille, la SPA lance alors un grand appel aux dons.

    Pour nourrir et soigner ces animaux jusqu'à ce que la chance leur sourie enfin, la SPA compte sur les amis des animaux et leur générosité. Ils ont besoin de votre aide.

    8 300 animaux attendent une famille à la SPA

    Alors que l'association accueille chaque année 40 000 chiens et chats environ, ce sont aujourd'hui quelque 8 300 animaux qui attendent une famille dans les 57 refuges que compte l'association, dont 3900 depuis plus de trois mois.

    Si certains d'entre eux trouveront dans les jours à venir un foyer et passeront un vrai Noël en famille, beaucoup d'autres n'auront pas cette chance. Alors si vous le pouvez, n'hésitez pas à faire un don, même une petite somme, pour aider les refuges à leur offrir un beau réveillon.

    Rendez-vous sur le site dédié à cette campagne pour en savoir plus sur la façon dont vous pouvez aider les animaux des refuges SPA.

    Et si vous adoptiez ?

    Bien sûr, le plus beau des cadeaux qui puisse être fait à tous ces animaux est une famille qui saura les aimer et les choyer comme ils le méritent. Alors si vous envisagez d'adopter un compagnon à 4 pattes, pensez à eux !

    Chat, chien, grand, petit, dynamique, patachon, pot de colle, indépendant... Tous sont si différents les uns des autres, et parmi eux, il y a très certainement le compagnon à 4 pattes de votre vie qui saura vous rendre au centuple tout l'amour, l'attention et les soins que vous lui donnerez.

    N'hésitez donc pas à vous rendre dans les refuges proches de chez vous, mais aussi à consulter notre rubrique adoption qui recense des milliers d'annonces mises en ligne par les refuges SPA de France.

     

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  •  

    Objectif: 450 000 petits bonnets...

    Alors à vos aiguilles!

    Yahoo!

    votre commentaire
  •  

    [APPEL A TÉMOIGNAGES]

    A l’occasion des 170 ans de ‪#‎laSPA‬, France 2 soutient la cause animale lors d’une soirée exceptionnelle au moment des fêtes de fin d’année.
    Vous avez sauvé un animal, votre compagnon a fait des kilomètres pour vous retrouver…

    Partagez votre histoire extraordinaire ! RDV surhttp://www.france2.fr/emissions/spa-170-ans


    Votre témoignage sera peut-être mis en image pour être diffusé lors de l’émission.

    Yahoo!

    votre commentaire
  • Fondation 30 Millions d'Amis 1er partenaire des refuges

    Yahoo!

    votre commentaire
  • Voici un article publié sur le site 30 millions d'amis en 2 013 mais hélas toujours d'actualité!

    ENQUÊTE27.11.2013

    Arnaques sur Internet : 30 Millions d’Amis appelle à la vigilance

    Sur le net, de nombreux sites n’hésitent pas à se servir des animaux - et parfois de leur souffrance - pour récolter des sommes d’argent dont la destination et l’utilisation demeurent floues. Pour la Fondation 30 Millions d’Amis, la méfiance est de mise pour éviter les pièges.

    Arnaques sur le net

    Photo chiens : © sommai - Fotolia.com

    « Cliquez pour sauver ce chien », « 5 euros suffisent pour éviter la boucherie à ce cheval »… sur la toile et les réseaux sociaux, les messages de ce type interpellent facilement toute personne sensible à la cause animale. Or, derrière ces multiples incitations à verser de l’argent ou à cliquer simplement sur un lien peuvent se cacher des procédés malhonnêtes.

    DÉTRESSE TRÈS LUCRATIVE

    Le développement de ces sites ou de ces pages promettant de sauver des chiens ou des chats d’un simple clic pose question. Car si certains mentionnent clairement les coordonnées des refuges partenaires, d’autres se gardent bien de s’étendre sur l’origine et les conditions précises dans lesquelles vit l’animal supposé « en détresse ». Idem pour les sommes versées en numéraire : le détail de l’utilisation de ces dons en ligne n'est que rarement, voire jamais communiqué. Pour un chien, certains sites demandent jusqu’à 135 euros pour couvrir l’ensemble des vaccins, alors que cette même somme permet, dans un refuge, de payer les vaccins mais également la stérilisation de l’animal. Autre aberration : après avoir été prétendument « sauvés » - contre les 135 euros réclamés - ces animaux sont placés à l’adoption. Une somme équivalente est alors demandée aux adoptants… pour couvrir des frais vétérinaires déjà financés ! Quant aux sommes versées par les annonceurs publicitaires - proportionnelles aux clics générés sur ces pages web - difficile de savoir précisément la part qui bénéficie directement aux animaux de celle qui vient enrichir les détenteurs desdits sites.

    PRATIQUES ILLÉGALES

    Les contrôles, qui relèvent des pouvoirs publics, sont rares. Et certains sites, contrairement au message qu’ils véhiculent, relèvent non pas du statut d’association de protection animale mais entrent dans la catégorie "entreprise" selon une source qui œuvre dans la protection animale depuis 15 ans. « Si on dépasse 60 000 euros de chiffre d’affaire annuel, on devient imposable, explique-t-elle. On n’a donc pas le droit de se déclarer d’intérêt général... ni de proposer des reçus fiscaux à ses donateurs ! » Une pratique totalement illégale mais pourtant avérée. Chez actuanimaux.com, « les animaux à sauver proviennent de refuges qui ont fourni au préalable un bilan financier et moral. Des enquêtes sur le terrain sont menées et si les informations ne sont pas suffisantes, une vérification des devis est faite pour s’assurer que les tarifs des soins correspondent bien aux prix effectifs pratiqués par les vétérinaires, pour éviter les abus ». Tous les organismes ne sont pas aussi regardants : après enquête, certains travaillent en étroite collaboration avec des... sociétés de vente d’animaux.

     

    « Le trafic d’animaux a pris encore plus d’ampleur avec Internet.

    Jean-Paul Billault - journaliste

     

    PETITES ANNONCES

    Font florès également sur la toile, les ventes d’animaux par petites annonces, au mépris du bien-être même de ces bêtes. Des éleveurs, non déclarés en préfecture en dépit de ce qu’exige la loi, monnayent des portées de chiots ou de chatons dans l’opacité la plus complète : les animaux ne sont ni tatoués ni vaccinés, souvent retirés à leur mère avant le sevrage - ce qui peut entraîner de graves troubles de comportement - et parfois même importés des pays d’Europe de l’Est dans les conditions les plus sordides. Le vendeur, lui, réalise au passage un bénéfice très important : selon Jean-Paul Billault, auteur d’une enquête diffusée sur France 2 il y a quelques mois*, le prix de revente de l’animal est parfois trois fois supérieur à son prix d’achat. Ainsi, des milliers de chiens et de chats sont chaque jour mis sur ce marché virtuel où les contrôles sont, là-aussi, quasi inexistants. De l’aveu même des autorités, il est impossible de connaître avec précision le nombre d’animaux concernés par ce marché parallèle. « Le trafic d’animaux a pris encore plus d’ampleur avec Internet, explique le journaliste. Aujourd’hui, n’importe quel moteur de recherche peut vous faire remonter à un trafic qui commence en Bulgarie ou en Slovaquie ». Quant aux voies de recours dont peut bénéficier l’acheteur en cas de maladies de l’animal ou d’anomalies comportementales décelées, elles s’avèrent très réduites.

    CHEVAUX DE BOUCHERIE

    Chiens, chats, mais aussi équidés ! Récemment, un appel aux dons pour sauver 52 chevaux d’un abattoir belge mobilisaient les internautes et enflammaient les réseaux sociaux… alors que tout cela était faux ! Combien d’internautes victimes de cette supercherie ? Combien a-t-elle rapporté à ses auteurs ? Malheureusement impossible à déterminer. Laetitia Bos, présidente du CHEM**, tire la sonnette d’alarme et dénonce les effets pervers de ce marché - très juteux - des chevaux de boucherie prétendument sauvés de la mort. « Depuis cinq ans, nous assistons à des ouvertures de pseudo associations dont la seule activité est le "sauvetage" d'équidés, explique la jeune femme. Pour cela, elles demandent des sommes allant jusqu’à 1 000 euros par animal, alors que celui-ci a été racheté à un maquignon pour une somme bien inférieure (400 euros maximum, NDLR), puis revendu à des particuliers. » Les bénéfices ainsi réalisés peuvent être substantiels et l’efficacité de ces sauvetages hypothétique : « Pour chaque équidé racheté, les donateurs - de bonne foi - ignorent qu'ils envoient un autre cheval plus tôt que prévu aux portes des abattoirs. En effet, le marchand n'arrête pas de travailler : quand on lui a racheté un cheval, il en acquiert un autre ! » précise Laëtitia Boss. Un cercle vicieux qui encourage et entretient un véritable commerce parallèle. De plus, aucun des équidés n’est stérilisé et leur reproduction est clairement encouragée. Une conception de la protection animale bien étrange : comment encourager cette reproduction alors que refuges et pensions sont déjà pleins à craquer, et que les animaux réellement en détresse sont si nombreux ?

     

    « Lorsque l’on sollicite la générosité du public, notre devoir est de lui rendre des comptes.

    Reha Hutin

     

     

     

    RÈGLES DE TRANSPARENCE

    La Fondation 30 Millions d’Amis appelle donc à la plus grande vigilance. « Lorsque nous sollicitons la générosité du public, notre devoir est de lui rendre compte de nos actions. Nous attachons une très grande importance à la transparence. Il m’est donc insupportable que des individus utilisent la souffrance animale à leur profit » poursuit la Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis. « Ces sites n’hésitent pas à mettre des photos d’animaux en très mauvais état pour encore mieux abuser du public, dénonce-t-elle. On ne peut rester insensible à ce spectacle... Pourtant, en cliquant, on ne sauve pas ces pauvres bêtes, on ne fait qu’enrichir des personnes sans scrupules ».

    La Fondation n’effectue aucun prêt ni aucun don en numéraire aux plus de 300 refuges et associations - répartis sur toute la France - qu’elle soutient. Elle règle directement les frais vétérinaires aux praticiens et procède elle-même à la livraison de nourriture et de matériel. Les structures qui bénéficient de ces aides remplissent des critères de gestion très stricts.

    *Les Infiltrés : « Trafic d’animaux, les mafias internationales » - diffusé le 15/2/13 sur France 2
    **Centre d’Hébergement pour Equidés Maltraités

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire
  • Yahoo!

    votre commentaire
  •  

     

     

    Je viens de découvrir le très joli site de  Josette & Tic, les chaussettes solidaires. Allez visiter leur site, leur blog et commander des paires de chaussettes...

     

     

    Yahoo! Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique