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  •  Les infographies proviennent du site roulermoinscher.com

     

     

    Soyez prudents au volant!

     

     

     

    Soyez prudents au volant!

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    [APPEL A TÉMOIGNAGES]

    A l’occasion des 170 ans de ‪#‎laSPA‬, France 2 soutient la cause animale lors d’une soirée exceptionnelle au moment des fêtes de fin d’année.
    Vous avez sauvé un animal, votre compagnon a fait des kilomètres pour vous retrouver…

    Partagez votre histoire extraordinaire ! RDV surhttp://www.france2.fr/emissions/spa-170-ans


    Votre témoignage sera peut-être mis en image pour être diffusé lors de l’émission.

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  • Fondation 30 Millions d'Amis 1er partenaire des refuges

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  • Voici un article publié sur le site 30 millions d'amis en 2 013 mais hélas toujours d'actualité!

    ENQUÊTE27.11.2013

    Arnaques sur Internet : 30 Millions d’Amis appelle à la vigilance

    Sur le net, de nombreux sites n’hésitent pas à se servir des animaux - et parfois de leur souffrance - pour récolter des sommes d’argent dont la destination et l’utilisation demeurent floues. Pour la Fondation 30 Millions d’Amis, la méfiance est de mise pour éviter les pièges.

    Arnaques sur le net

    Photo chiens : © sommai - Fotolia.com

    « Cliquez pour sauver ce chien », « 5 euros suffisent pour éviter la boucherie à ce cheval »… sur la toile et les réseaux sociaux, les messages de ce type interpellent facilement toute personne sensible à la cause animale. Or, derrière ces multiples incitations à verser de l’argent ou à cliquer simplement sur un lien peuvent se cacher des procédés malhonnêtes.

    DÉTRESSE TRÈS LUCRATIVE

    Le développement de ces sites ou de ces pages promettant de sauver des chiens ou des chats d’un simple clic pose question. Car si certains mentionnent clairement les coordonnées des refuges partenaires, d’autres se gardent bien de s’étendre sur l’origine et les conditions précises dans lesquelles vit l’animal supposé « en détresse ». Idem pour les sommes versées en numéraire : le détail de l’utilisation de ces dons en ligne n'est que rarement, voire jamais communiqué. Pour un chien, certains sites demandent jusqu’à 135 euros pour couvrir l’ensemble des vaccins, alors que cette même somme permet, dans un refuge, de payer les vaccins mais également la stérilisation de l’animal. Autre aberration : après avoir été prétendument « sauvés » - contre les 135 euros réclamés - ces animaux sont placés à l’adoption. Une somme équivalente est alors demandée aux adoptants… pour couvrir des frais vétérinaires déjà financés ! Quant aux sommes versées par les annonceurs publicitaires - proportionnelles aux clics générés sur ces pages web - difficile de savoir précisément la part qui bénéficie directement aux animaux de celle qui vient enrichir les détenteurs desdits sites.

    PRATIQUES ILLÉGALES

    Les contrôles, qui relèvent des pouvoirs publics, sont rares. Et certains sites, contrairement au message qu’ils véhiculent, relèvent non pas du statut d’association de protection animale mais entrent dans la catégorie "entreprise" selon une source qui œuvre dans la protection animale depuis 15 ans. « Si on dépasse 60 000 euros de chiffre d’affaire annuel, on devient imposable, explique-t-elle. On n’a donc pas le droit de se déclarer d’intérêt général... ni de proposer des reçus fiscaux à ses donateurs ! » Une pratique totalement illégale mais pourtant avérée. Chez actuanimaux.com, « les animaux à sauver proviennent de refuges qui ont fourni au préalable un bilan financier et moral. Des enquêtes sur le terrain sont menées et si les informations ne sont pas suffisantes, une vérification des devis est faite pour s’assurer que les tarifs des soins correspondent bien aux prix effectifs pratiqués par les vétérinaires, pour éviter les abus ». Tous les organismes ne sont pas aussi regardants : après enquête, certains travaillent en étroite collaboration avec des... sociétés de vente d’animaux.

     

    « Le trafic d’animaux a pris encore plus d’ampleur avec Internet.

    Jean-Paul Billault - journaliste

     

    PETITES ANNONCES

    Font florès également sur la toile, les ventes d’animaux par petites annonces, au mépris du bien-être même de ces bêtes. Des éleveurs, non déclarés en préfecture en dépit de ce qu’exige la loi, monnayent des portées de chiots ou de chatons dans l’opacité la plus complète : les animaux ne sont ni tatoués ni vaccinés, souvent retirés à leur mère avant le sevrage - ce qui peut entraîner de graves troubles de comportement - et parfois même importés des pays d’Europe de l’Est dans les conditions les plus sordides. Le vendeur, lui, réalise au passage un bénéfice très important : selon Jean-Paul Billault, auteur d’une enquête diffusée sur France 2 il y a quelques mois*, le prix de revente de l’animal est parfois trois fois supérieur à son prix d’achat. Ainsi, des milliers de chiens et de chats sont chaque jour mis sur ce marché virtuel où les contrôles sont, là-aussi, quasi inexistants. De l’aveu même des autorités, il est impossible de connaître avec précision le nombre d’animaux concernés par ce marché parallèle. « Le trafic d’animaux a pris encore plus d’ampleur avec Internet, explique le journaliste. Aujourd’hui, n’importe quel moteur de recherche peut vous faire remonter à un trafic qui commence en Bulgarie ou en Slovaquie ». Quant aux voies de recours dont peut bénéficier l’acheteur en cas de maladies de l’animal ou d’anomalies comportementales décelées, elles s’avèrent très réduites.

    CHEVAUX DE BOUCHERIE

    Chiens, chats, mais aussi équidés ! Récemment, un appel aux dons pour sauver 52 chevaux d’un abattoir belge mobilisaient les internautes et enflammaient les réseaux sociaux… alors que tout cela était faux ! Combien d’internautes victimes de cette supercherie ? Combien a-t-elle rapporté à ses auteurs ? Malheureusement impossible à déterminer. Laetitia Bos, présidente du CHEM**, tire la sonnette d’alarme et dénonce les effets pervers de ce marché - très juteux - des chevaux de boucherie prétendument sauvés de la mort. « Depuis cinq ans, nous assistons à des ouvertures de pseudo associations dont la seule activité est le "sauvetage" d'équidés, explique la jeune femme. Pour cela, elles demandent des sommes allant jusqu’à 1 000 euros par animal, alors que celui-ci a été racheté à un maquignon pour une somme bien inférieure (400 euros maximum, NDLR), puis revendu à des particuliers. » Les bénéfices ainsi réalisés peuvent être substantiels et l’efficacité de ces sauvetages hypothétique : « Pour chaque équidé racheté, les donateurs - de bonne foi - ignorent qu'ils envoient un autre cheval plus tôt que prévu aux portes des abattoirs. En effet, le marchand n'arrête pas de travailler : quand on lui a racheté un cheval, il en acquiert un autre ! » précise Laëtitia Boss. Un cercle vicieux qui encourage et entretient un véritable commerce parallèle. De plus, aucun des équidés n’est stérilisé et leur reproduction est clairement encouragée. Une conception de la protection animale bien étrange : comment encourager cette reproduction alors que refuges et pensions sont déjà pleins à craquer, et que les animaux réellement en détresse sont si nombreux ?

     

    « Lorsque l’on sollicite la générosité du public, notre devoir est de lui rendre des comptes.

    Reha Hutin

     

     

     

    RÈGLES DE TRANSPARENCE

    La Fondation 30 Millions d’Amis appelle donc à la plus grande vigilance. « Lorsque nous sollicitons la générosité du public, notre devoir est de lui rendre compte de nos actions. Nous attachons une très grande importance à la transparence. Il m’est donc insupportable que des individus utilisent la souffrance animale à leur profit » poursuit la Présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis. « Ces sites n’hésitent pas à mettre des photos d’animaux en très mauvais état pour encore mieux abuser du public, dénonce-t-elle. On ne peut rester insensible à ce spectacle... Pourtant, en cliquant, on ne sauve pas ces pauvres bêtes, on ne fait qu’enrichir des personnes sans scrupules ».

    La Fondation n’effectue aucun prêt ni aucun don en numéraire aux plus de 300 refuges et associations - répartis sur toute la France - qu’elle soutient. Elle règle directement les frais vétérinaires aux praticiens et procède elle-même à la livraison de nourriture et de matériel. Les structures qui bénéficient de ces aides remplissent des critères de gestion très stricts.

    *Les Infiltrés : « Trafic d’animaux, les mafias internationales » - diffusé le 15/2/13 sur France 2
    **Centre d’Hébergement pour Equidés Maltraités

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    Dans le journal Le Point du 15 octobre, le journaliste franco-américain Franz-Olivier Giesbert signe un édito poignant :

    Honte à nous, complices d'Erdogan !

    [...]

    L'incendie du Reichstag est devenu une spécialité turque : l'État profite d'un attentat commis ou non avec la complicité de ses services secrets pour l'attribuer aussitôt à ses adversaires, qu'il peut alors réprimer sans pitié. Adolf Hitler avait ouvert la voie en 1933. Recep Tayyip Erdogan, le président turc, la suit sans vergogne.
    Le pouvoir turc a apparemment signé son crime en accusant tout de suite le PKK d'être à l'origine de l'attentat le plus meurtrier de l'histoire du pays, perpetré à Ankara samedi dernier. Que ce soit le mouvement kurde de résistance armée qui ait décidé de tuer des manifestants pacifiques et pro-kurdes est totalement invraisemblable. Mais Erdogan, père Ubu affairiste, rongé par ses obsessions comme par des poux, n'a jamais été à une carabistouille près.

    [...]

    Il y a quelque chose de comique à voir nos gouvernants, Fabius en tête, prendre des airs dégoûtés devant Poutine alors que nous avons, avec Erdogan, un homme de la même engeance, en plus fourbe, dans notre propre camp. Le 28 juillet, un communiqué hallucinant de l'OTAN apportait le soutien de ses pays membres au pouvoir turc pour son prétendu juste combat contre les rebelles kurdes. A croire que la menace de Daesh est d'une même nature que le danger que font peser les Kurdes sur la Turquie, où ils représentent entre 16% et 20% de la population.

    Fort de ce blanc-seing, le régime islamo-conservateur d’Erdogan en a profité pour s’attaquer aux positions des rebelles kurdes en Syrie ou dans le nord de l’Irak plutôt qu’à celles de ses frères sunnites de Daech, dont il est, depuis le début du conflit, l’allié objectif et sournois. Si nous ne disons rien, c’est qu’il a acheté notre silence : en échange de notre assentiment, il « fixe » au moins 2 millions de réfugiés qui ont fui les barbares de l’Etat islamique.

    Nous autres, Occidentaux, ne sommes pas seulement lâches, ridicules et pathétiques. Pris en otages par le pouvoir turc, nous atteignons aussi le comble de l’abjection en soutenant activement la politique génocidaire d’Erdogan, qui entend bien réserver aux Kurdes le traitement que ses sinistres prédécesseurs du parti des Jeunes-Turcs firent subir aux Arméniens en 1915 : l’éradication quasi totale.

    Pour commettre son crime contre l’humanité, Erdogan bénéficie du soutien sans faille du Prix Nobel de la paix Barack Obama, son « idiot utile » , et des pays membres de l’Otan. Sans parler de ses supplétifs que sont les hordes de Daech, devenues des as du meurtre de masse de Kurdes.

    Ce qu’on appelait depuis le XIIe siècle le Kurdistan est aujourd’hui partagé entre la Turquie, l’Iran, l’Irak et la Syrie, ou ce qu’il en reste. Un peuple d’à peu près 35 millions de personnes, avec sa propre langue et une forte identité culturelle qui transcende les religions, musulmane, chrétienne ou yézidie, cohabitant pour l’heure face aux deux ennemis communs : l’Etat islamique et le pouvoir turc.

    Ce peuple joue sa vie. Plus nous nous en lavons les mains, plus elles deviennent sales…

     
    Photo de Kurdistanews, l'actualité du Kurdistan.
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    Flash Info ! Le premier ministre turc menace les Kurdes de génocide à Wan

    Aujourd'hui, le premier ministre turc Davutoglu était en meeting électoral à Wan, au Kurdistan. Il a implicitement menacé les Kurdes de génocide s'ils ne votent pas pour son parti :

    " Nous ne retournerons pas aux années 90. Si l'AKP perd le pouvoir, des groupes terroristes viendront ici, des Toros blanches viendront. Nous ne laisserons pas ces assassins revenir. Ne vous inquiétez pas, nous ne retournerons pas aux années 90. "

    Il faut savoir que les Toros blanches (Renault R12) sont des voitures avec lesquelles le JITEM, une cellule 'anti-terroriste' de l'armée turque, kidnappait les Kurdes dans les années 90, sommet de la répression des Kurdes en Turquie. Les civils étaient kidnappés sans motif, et personne ne les a plus jamais revus. Selon l'Institut des Droits de l'Homme en Turquie, il y a plus de 17 000 civils qui ont été enlevés et exécutés sommairement. Le JITEM est officiellement considéré illégal et interdit.

    Cette menace est à prendre très au sérieux. Nous rappelons que le président turc Erdogan avait menacé de mettre fin au processus de paix avec les Kurdes s'il ne l'emportait pas en juin, menace qui a été mise à exécution.

     
    Photo de Kurdistanews, l'actualité du Kurdistan.
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  • "Erdogan se présente comme un rempart contre le terrorisme"

     Article  publié sur le site de l'humanité
     
     
    ENTRETIEN RÉALISÉ PAR VADIM KAMENKA
    VENDREDI, 16 OCTOBRE, 2015
    HUMANITÉ DIMANCHE
    Après le double attentat du 10 octobre, Didier Billion, directeur adjoint de l'IrIs, analyse l'impact de ce drame sur la société turque et la stratégie poursuivie par le président recep tayyip erdogan.

    HD. Quel impact les attentats peuvent-ils avoir sur une société turque déjà fortement polarisée ?

    DiDier Billion. On a franchi un nouveau palier. Cet attentat a renforcé le sentiment anxiogène qui traverse l'ensemble de la société turque, déjà fortement préoccupée et touchée par les conflits en Irak et en Syrie. Désormais elle assiste à une dégradation rapide de son pays avec un niveau de violence inquiétant. Dans l'est et le sud-est du pays, on aperçoit des tranchées et des barricades dans les rues. La situation est grave car, si les différents acteurs continuent dans cette direction, elle pourrait ne plus être maîtrisable. Le président Erdogan en est le principal responsable.
    Mais cela n'empêche pas les Turcs de continuer à se mobiliser car c'est le seul moyen qui leur reste. Dès le 11 octobre, de massives manifestations ont eu lieu pour protester contre ce cycle guerrier. Malgré la peur, la rue demeure l'un des derniers espaces d'expression libre. La société turque est donc mobilisée pour le meilleur et pour le pire. D'un côté, Erdogan cherche à polariser le pays et réussit à aiguiser les conflits. De l'autre, une partie des citoyens qui se mobilisent pour s'opposer à cette stratégie. Les élections de juin avaient été un bon révélateur en confirmant une forte participation des électeurs turcs avec 8 à 10 points en plus. Il faudra surveiller si cette fois les organisations syndicales soutiennent les rassemblements et s'inscrivent dans les protestations.

    HD. À quelques semaines des élections législatives, Recep Tayyip Erdogan peut-il faire le choix d'une confiscation du pouvoir en reportant le scrutin et en déclarant l'état d'urgence ?

    D. B. Depuis le mois de juillet, Erdogan a opté pour une stratégie de la tension. Après l'attentat qui a eu lieu le 20 juillet contre de jeunes militants kurdes à Suruç, il a répliqué en organisant une campagne de lutte contre le terrorisme ciblant prioritairement le PKK, alors qu'un processus de négociations était en cours depuis 2012, plutôt que l'« État islamique ». Le pouvoir a exercé une pression énorme contre le HDP et contre l'ensemble des forces démocratiques. Depuis plusieurs mois, Erdogan a enclenché cette stratégie de la polarisation pour mettre en place son projet de présidentialisation du régime et obtenir une majorité suffisante lors du scrutin législatif, le 1er novembre. Après l'attentat, la suspension des élections pour décréter l'état d'urgence n'apparaît pas encore comme une hypothèse envisagée par le pouvoir. Le premier ministre turc a confirmé la date du scrutin. Et Erdogan entend rassembler l'électorat en se présentant comme le seul recours contre le terrorisme... Sauf que cette tactique ne fonctionne pas. Les derniers sondages, publiés avant l'attentat à Ankara, confirment un statu quo.

    HD. Un front anti-Erdogan peut-il naître au lendemain de ces attentats ?

    D. B. Une alliance électorale et politique m'apparaît difficilement envisageable. Le HDP et le parti kémaliste CHP ont juste le rejet d'Erdogan en commun. Leurs programmes et leurs électorats sont différents. La coalition gouvernementale qui pourrait être envisagée, c'est une alliance entre le Parti d'action nationaliste (extrême droite) et l'AKP. Les premiers ont toujours refusé les appels du pied du président Erdogan. Mais jusqu'à quand ? Et dans quel contexte vont se dérouler ces élections ? Actuellement, aucun débat citoyen serein ne peut se tenir.

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