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  • Le Prix Pinocchio est décerné à ...

    Écrit par Simon   
    Vendredi, 18 Novembre 2011 16:55

    prix_pinocchioLe prix Pinocchio a été mis en place par l'association:

    les Amis de la Terre !

    Ce prix a pour objectif de dénoncer les impacts

    environnementaux négatifs de certaines entreprises

    françaises qui se disent «écolo» mais qui sont en contradiction avec le principe de développement

    durable !

    Le classement a été établi en partenariat avec le CRID (Centre de Recherche et d'Information

     pour le Développement) 

     

    3 catégories ont été définies :

    •Les « plus vert que vert » : qui récompense la campagne de publicité la plus abusive et

    mensongère au regard de ses activités réelles.

    •« Une pour tous, tout pour moi » : prix décerné pour les entreprises menant « une politique

    agressive en terme d'appropriation et de surexploitation des ressources naturelles ».

    •« Mains sales, poches pleines » : pour l'entreprise « ayant mené la politique la plus aboutie en

    terme d'opacité et de lobbying ».

    La société VINCI remporte le prix « plus vert que vert » pour sa campagne de protection des

    agriculteurs alors que cette société doit construire un aéroport sur les terres de ses mêmes

    agriculteurs !

    La Société Générale remporte le prix « Mains sales, poches pleines » pour la finance de nombreux

    projets de centrales nucléaires. La banque à « l'esprit d'équipe » est donc la 4éme banque au

    monde à financer le secteur nucléaire !

    Enfin le prix « Un pour tous, tous pour moi » est décerné à TEREOS. Le producteur d'agro

    carburants est en train de détourner et détruire plus de 4,8 millions d'hectares de forêts du

    Mozambique. Or le contrat passé avec le gouvernement du Mozambique faisait état de 98 000

    hectares exploitables jusqu'en 2023 !

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  • Kurdistan-Turquie : nouveau séisme dans la province de Van

    Article publié sur le site du Secours populaire

    Précédemment frappé le 23 octobre par un séisme de magnitude 7.2 sur l’échelle de Richter, l'est de la Turquie a subi une nouvelle secousse ce 9 novembre.
     
    En 1999, à Degirmendere, sur les bords de la mer de Marmara, tout près de Golcuk, la zone la plus durement touchée par le séisme, les habitants furent hébergés dans des structures en dur dans l'attente de la livraison des immeubles comportant 49 appartements financés par le Secours populaire.
    En 1999, à Degirmendere, sur les bords de la mer de Marmara, tout près de Golcuk, la zone la plus durement touchée par le séisme, les habitants furent hébergés dans des structures en dur dans l'attente de la livraison des immeubles comportant 49 appartements financés par le Secours populaire.
    SPF

    Après un premier séisme le 23 octobre, Servet Demir, correspondant du Secours populaire, a procédé dès le 29 octobre à des distributions de produits de première nécessité aux sinistrés de la ville de Van (285.000 habitants). Malheureusement, l'est de la Turquie a subi une nouvelle secousse ce 9 novembre. Le Secours populaire et ses partenaires du Réseau Euro-Méditerranéen de la Solidarité (REMEDES), qui avaient tenu leur assemblée générale en mai 2011 à Istanbul, restent bouleversés par cette succession de catastrophes touchant cette région. Le Secours populaire appelle aux dons financiers et ce, pour mener ses actions de solidarité.

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  • Thaïlande : l'UNICEF intensifie son aide pour les victimes des inondations

    Inondations à Bangkok, en Thaïlande.

    11 novembre 2011 –

    Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF)) a annoncé jeudi une campagne de distribution de plus de 300.000 kits hygiéniques et sanitaires aux victimes des inondations en Thaïlande notamment pour éviter des épidémies de maladies transmissibles dans le pays.

    « L'hygiène et l'assainissement sont toujours très importants dans un contexte d'inondations. Même si pour l'instant nous n'avons aucune information d'épidémies, nous savons que les eaux contaminées des inondations sont susceptibles de propager des maladies. Les risques peuvent être limités grâce à une bonne hygiène et un assainissement efficace », a déclaré le Représentant de l'UNICEF en Thaïlande, Tomoo Hozumi.

    Les kits contiennent du savon, de la javelle et des tablettes de purification de l'eau, un gel alcoolisé pour l'hygiène des mains et des sacs plastiques pour les ordures. Ils sont distribués avec l'aide du ministère thaïlandais de la santé.

    Près de trois millions de personnes ont été affectées par les pluies de la mousson, particulièrement abondantes cette année et qui ont causé les pires inondations depuis 50 ans. De grandes parties des 29 provinces du pays, y compris la capitale Bangkok, ont été envahies par les eaux et 533 personnes ont été tuées, dont 77 enfants qui sont mort noyés.

    « Les enfants coincés dans des maisons entourées d'eau n'ont nulle part pour jouer, donc il vont jouer dans l'eau. Puisque nombreux d'entre eux ne savent pas nager, cela représente un grand risque », a di M. Hozumi. L'UNICEF a établi 40 espaces "Amis des enfants" au sein des centres d'évacuation afin de proposer des endroits de récréation et d'activités en toute sécurité pour les enfants.

    M. Hozumi a expliqué que l'UNICEF travaille pour que les enfants retournent à l'école le plus rapidement possible afin de les permettre de retrouver leurs routines ce qui leur permettra de surmonter le choc du désastre au plus vite. Pour cela, l'UNICEF organise la distribution de 1000 kits « d'écoles portables » aux écoles les plus endommagées. Chaque kit contient du matériel pour 80 élèves.

    Par ailleurs, l'UNICEF distribue des milliers de brochures d'information avec des conseils pratiques destinés aux familles pour protéger la santé de leurs enfants.

     

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  •   

     L’association Kokopelli diffuse en France et dans le monde entier une collection de plus de  3 000 variétés de semences potagères anciennes (tomates,laitues, épinards, aubergines...), librement reproductibles et issues de l’agriculture biologique.

     


     
    publié sur le site de Kokopelli

    Kokopelli, un Joueur de Flûte Enchantée dans le Rêve de Gaïa

    Dans les cosmogonies Amérindiennes, Kokopelli est bien sûr le Semeur, le Joueur de Flûte, mais il est aussi le Shaman, le Farceur, le Vagabond, le Troubadour, le Colporteur, le Dissident, l’Hérétique, et le Séducteur. Le Joueur de Flûte est à l’image du Grand Pan de l’antique Europe Indigène. Chez les Indiens Hopis (les Pacifiques), il n’est pas, au sens strict, identifié avec Kokopelli mais plutôt avec la Cigale. Dans leur cosmogonie, contrairement à la Fable de la Fontaine, c’est la Cigale qui est l’héroïne, celle qui guide le Peuple des Fourmis des mondes inférieurs vers la surface de la Planète. Ne peut-on discerner, dans ces deux histoires, une évocation poignante de l’antinomie entre deux cultures, d’une part la sagesse Amérindienne ludique et empreinte de révérence pour la Terre Mère et de respect pour la biosphère et, d’autre part, une société Occidentale besogneuse et “affairée” et dont les excès de besogne stérilisent la Terre en un désert, désacralisent le vivant et transforment l’intégralité de la biosphère en une poubelle génératrice de cancers?

    N’y aurait-il pas en chacun de nous, l’espèce humaine, un petit Kokopelli ou une petite Kokopelli-Mana (l’archétype féminin) qui ne demande qu’à s’éveiller, qu’à hurler sa rage face à une telle destruction, qu’à proclamer son hérésie (dans le sens Grec du terme “liberté de choisir”) face à une telle normalisation et banalisation de la Terreur d’Etat, qu’à disséminer ses semences de vie, de fertilité et de créativité au coeur de la monotonie de la morne et morte pensée? Car si Kokopelli est le Semeur, c’est parce qu’il est le symbole de la Fertilité, le symbole de la Sexualité. Et si Kokopelli est le Joueur de Flûte, c’est aussi parce qu’il est le symbole de la Fertilité et de la Sexualité. Car la flûte est sans doute l’instrument le plus antique, de mémoire d’humanité: une flûte Néanderthalienne, ciselée à partir d’un fémur d’ours et datant de 53 000 ans, a été retrouvée en Slovénie. La flûte a été universellement associée à l’amour, à la séduction et à la courtoisie. Le joueur de flûte se manifeste toujours dans des contextes de fertilité, d’abondance et de pluie. Le rôle du Joueur de Flûte est primordial dans le shamanisme, dans les anciens mythes de création et dans les rites de fertilité.

    Nous aurions pu, tout aussi bien, intituler cette introduction “Kokopelli, la Fertilité à la Fleur du Phallus”. Kokopelli, cet antique personnage charismatique, cet archétype de procréation, a été émasculé et stérilisé par tous les missionnaires estropiés de la joie de vivre, les grands prêtres de la bien-pensée. Le Joueur de Flûte, au phallus proéminent, a été aseptisé et relégué au rôle du semeur du Maïs et de l’Amour, de préférence platonique, un concept galvaudé par 2000 années de théologie de l’annihilation et d’inversion des valeurs. Et si nous souhaitons redonner à Kokopelli son apanage, à savoir ce phallus proéminent, ce n’est pas pour réchauffer le vieux ragoût à la sauce patriarcale car cela fait 7000 ans que la biosphère s’étiole et que l’humanité se meurt sous les assauts du patriarcat et de l’agressivité mâle. Kokopelli symbole de Vie et de Fertilité, ne serait-il pas le contre-poison de ce fruit stérile, de l’impulsion de mort générée par l’union contre nature entre des forces d’intervention extraterrestre et la manifestation de l’Anthropos sur Terre? Cette hybridité entre l’Anthropos et une altérité absente et inorganique ne serait-elle pas d’ailleurs le précurseur de cette agriculture moderne mortifère dont les chimères, hybridées, clonées ou transgéniques, ont stérilisé à jamais toutes les merveilles de la biodiversité cultivée? Ne serait-elle pas aussi l’annonciatrice de cet enlisement inexorable de la psyché humaine dans une réalité virtuelle fondée sur du silicium qui nous aliène de la communion avec les forces vitales et orgasmiques de la Nature organique qui nous a engendrés?

    Cela fait 17 ans que nous luttons pour conserver le “privilège” de distribuer des semences de tomates, de courges, de laitues, etc. N’est-ce pas pathétique? Comment en est-on arrivé à l’abandon total de nos libertés les plus essentielles? La mafia semencière contre laquelle Kokopelli défend son droit d’exister, c’est cette même mafia qui contrôle la pharmacie, et qui contrôle l’agrochimie, et qui contrôle les chaînes de distribution alimentaire. Ce sont les multinationales des Sciences de la Mort qui stérilisent, qui virtualisent et qui synthétisent le Vivant. Ce dont l’humanité a besoin, ce n’est pas d’un nouveau Messie qu’il soit Noir ou Caucasien-Hongrois. L’humanité s’est fourvoyée dans une impasse écologique dont nul messie, prophète, avatar ou sage illuminé ne va l’en sortir. Il n’est nul besoin de moraliser le capitalisme mais il est par contre urgent de moraliser la morale Occidentale. Depuis l’été 2007, l’Occident a mis sur la table des milliers de milliards de dollars pour sauver les grands brigands de la finance: de quoi nourrir la totalité du Tiers-Monde pendant un ou deux siècles. En toute indécence.

    Ce dont l’humanité a besoin, c’est d’un sursaut de révolte contre l’inhumanité et la démence qui imprègnent notre paradigme Occidental, d’un cri de rage à l’encontre des multinationales qui ont pris les peuples de la planète en otage, d’une confrontation avec ces mafias qui prospèrent en collusion totale avec les gouvernements des pays Occidentaux, des pays en voie d’Occidentalisation et des pays sous-Occidentalisés.

    Lors de précédents communiqués, nous avons déjà lancé l’alerte vis à vis de récents décrets scélérats en Amérique du nord concernant les plantes médicinales et les compléments alimentaires. Si on laisse magouiller les puissances malfaisantes qui se cachent derrière l’infâme Codex Alimentarius, il ne faudra que quelques petites années pour que les dernières libertés dont nous jouissons soient réduites à néant, et tout cela au nom de la sacro-sainte protection du consommateur. Ce même consommateur qui se meurt de cancers, de mutations, de sous-nutrition, de maladies iatrogènes (à savoir provoquées par la médecine Occidentale)... Quelle farce immonde! D’ailleurs, les multinationales ne se cachent derrière le Codex que pour ceux qui ne veulent pas les voir: elles sont là au grand jour, dans toute leur arrogance. Elles mènent le monde, elles ont corrompu les hautes administrations, elles ont fait voter des lois scélérates, iniques, liberticides. Elles ont parfois même leur propre police ce qui est d’ailleurs un luxe car les polices et les organismes de répression des Etats sont à leur botte. Et l’inventaire des nuisances de leurs produits de synthèse ne fait que s’allonger:

    - elles ont éradiqué toutes les méthodes d’agriculture biologique afin de remplacer les fertilisants organiques par des fertilisants de synthèse qui stérilisent la terre et qui génèrent une telle érosion qu’il n’y aura plus un seul gramme de terre arable sur la planète en 2050. Elles ont même réussi l’exploit de faire “certifier” l’agriculture biologique et d’en faire payer la certification par les producteurs tandis que les agriculteurs pollueurs sont subventionnés par Bruxelles!

    - elles ont remplacé la quasi-totalité des anciennes variétés par des chimères brevetées qui ne peuvent fonctionner qu’avec des fertilisants de synthèse et des pesticides. Leurs lois punissent ceux qui osent donner, échanger ou commercialiser des variétés anciennes non inscrites sur les catalogues officiels.

    - elles ont remplacé les pratiques paysannes ancestrales (fondées sur la diversité) par l’utilisation des pesticides synthétiques: insecticides (dérivés des gaz moutardes), herbicides, fongicides, etc. Leurs lois (par exemple, la loi d’orientation agricole de janvier 2006) prévoient de punir de 2 ans de prison et de 75 000 euros d’amende toute confection, publicité ou transmission d’informations concernant les extraits de plantes, tels que le purin d’ortie. La prêle est maintenant leur cible, le seul fongifuge naturel disponible pour les jardiniers.

    - elles ont stérilisé la biodiversité naturelle des campagnes, interdisant ainsi l’accès aux plantes alimentaires sauvages qui contiennent souvent des oligoéléments que l’on ne trouve plus dans les variétés synthétiques de l’agriculture moderne ou dans les aliments synthétiques de l’agriculture chimique. Qui sait que l’ortie est l’une des plantes de la nature contenant le plus d’antioxydants?

    - elles interdisent l’usage du Stevia rebaudiana, une plante sucrante d’usage plusieurs fois millénaire originaire du Paraguay, et elles ont poursuivi Guayapi Tropical qui a perdu son dernier procès en Cour de Cassation.

    - elles sont en train de préparer une vaste offensive généralisée contre les plantes médicinales et les compléments alimentaires (voir par exemple les attaques contre la pharmacopée anthroposophique) et ne soyons pas naïfs, elles parachèveront cela par une éradication de toutes les médecines naturelles ou alternatives, ce qu’elles ont commencé de faire en persécutant Benveniste, Beljanski, Naessens, le Ribault... Qui se préoccupe du fait que les médicaments de synthèse constituent la troisième cause de mort aux USA?

    - elles ont enfin criminalisé toutes les plantes shamaniques utilisées par l’humanité depuis des dizaines de milliers d’années: le cannabis, le peyote, l’ayahuasca, les champignons psilocybe... Elles ont favorisé l’usage de substances “naturelles” (mais néanmoins regorgeant de pesticides) sources de dépendances, l’alcool et le tabac, qui remplissent les caisses des Etats et génèrent d’innombrables problèmes de santé: combien de morts par tabagisme tous les ans, combien de morts par alcoolisme tous les ans? Elles ont remplacé les plantes shamaniques par des psychotropes de synthèse (près de 25 % des Français ne peuvent “fonctionner” qu’à l’aide de ces psychotropes) et autres drogues de synthèse que des grands laboratoires fabriquent et distribuent en toute impunité: cocaïne, héroïne, méthamphétamine, etc. N’est ce pas une troublante coïncidence que depuis que les troupes de l’Alliance Occidentale ont envahi l’Afghanistan, la production d’opium Afghan (90% de la production mondiale) n’a cessé de croître? Dans ce domaine, l’hypocrisie des Etats Occidentaux n’a pas de borne: on oublie trop aisément que les banques Occidentales ont bâti leur fortune et leur prospérité sur les deux guerres de l’opium (1839 et 1856) en obligeant la Chine à ouvrir ses ports et à laisser son peuple s’empoisonner à l’opium.

    A qui profite le crime? Les peuples sont inexorablement dévastés et empoisonnés par les pesticides de synthèse, par des aliments contaminés et dénués de valeur nutritive, par des chimères génétiques hautement allergéniques, par de l’alcool frelaté ou hautement pesticidé, par du tabac farci de produits chimiques et génétiquement manipulé pour augmenter le taux de nicotine, par du sucre blanc déminéralisant, par des médicaments de synthèse qui génèrent tout autant de problèmes qu’ils en “soignent”, par des psychotropes de synthèse et des drogues dures synthétiques dont l’augmentation de la consommation est proportionnelle au mal-être grandissant de nos sociétés morbides.

    A qui même profite la criminalisation du cannabis? Il semblerait que les bonnes anciennes variétés de nos grands-mères aient été éradiquées pour faire place à des variétés modernes hybridées de manière forcenée (et peut-être même génétiquement manipulées) aux taux de THC décuplé ou plus.

    De quel droit les Etats Occidentaux se mêlent-ils de légiférer et de criminaliser l’accès aux richesses de la biosphère, aux dons de la Terre Mère? Qu’attendent les peuples pour se révolter contre l’interdiction de concocter un extrait d’ortie ou de prêle pour soigner les légumes de leur jardin, contre l’interdiction de sucrer leur tisane avec du Stevia, contre l’interdiction de cueillir des champignons dans les prés à l’automne, contre l’interdiction de donner ou d’échanger des anciennes variétés de blés, de tomates, de maïs ou de courges? Nous exigeons un accès libre à toutes les richesses de la biosphère Gaïenne, à tous les dons de la Terre Mère. Maintenant. Et sans exception.

    L’humanité est maintenant confrontée à un choix décisif: sombrer dans un esclavagisme chimique de synthèse, virtuel et artificiel (le véritable “enfer de la drogue”) ou se révolter pour recouvrer son droit inaliénable d’avoir recours aux plantes sauvages, aux plantes médicinales, aux plantes shamaniques et aux plantes alimentaires, le fruit de milliers d’années de co-évolution avec la biosphère. De ce choix dépend la survie de l’humanité, et d’une grande partie de la biosphère. Quant à Gaïa, une perle bleue sertie dans un univers de 135 milliards de galaxies, elle en a vu d’autres en 4350 millions d’années!

    Et pour clore sur une mélodie de flûte plus cosmique, nous aurions pu, tout aussi bien, intituler cette introduction “Kokopelli, la Fertilité à Fleur d’Antennes”. Car la science Occidentale n’a pas encore commencé à percer le mystère des antennes des insectes qui sont de puissants résonateurs, à l’image de l’entièreté de la terre, de l’humus, qui résonne puissamment avec les forces du cosmos (à condition qu’elle ne soit pas biologiquement stérile). Le symbole de Kokopelli, avec sa bosse, n’est pas sans évoquer l’abeille avec ses antennes extrêmement sensibles et son butin de pollen. Que savons-nous réellement du rôle de l’Abeille dans les desseins de Gaïa? Pourquoi l’Abeille est-elle en train de déserter l’humanité?

    Les antennes de Kokopelli, ce sont ses organes de résonnance Gaïenne. Et le Joueur de Flûte est souvent aussi celui qui ouvre les portes vers l’autre monde, vers l’autre dimension. Vers le Rêve de Gaïa? Les Aborigènes ont vécu pendant 40 000 ans dans les déserts de l’Australie, à l’écoute du Temps de Rêve, en synergie totale avec leur environnement, avec leur biosphère. Selon John Lash “La croyance indigène selon laquelle le rôle de l’humanité est de se souvenir des événements du Rêve pour toutes les créatures est en phase avec la suggestion présentée dans le Mythe de Gaïa: à savoir, que l’espèce humaine active un circuit de mémoire pour Gaïa.” Est-il encore temps pour l’Occident de se reconnecter à la source du Rêve, de co-évoluer avec Gaïa, la Terre-Mère? Ne serait-il pas sage d’accorder à la Biosphère une Trêve? Ne serait-ce pas une question vitale de Trêve ou de Crève? Ne serait-ce pas urgent de resemer la Vie au coeur de l’Extinction Planétaire pour préparer le terrain aux Tribus du Futur?

    Dominique Guillet

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  • DR.

    Adopter la moustache contre le cancer de la prostate

    Par figaro icon Cyrille Vanlerberghe, - publié sur le site du Figaro  le 08/11/2011
     
     
     
    Lancée comme une blague en 2004, la campagne de prévention «Movember» rencontre un succès grandissant dans le monde anglo-saxon.

    En novembre, se laisser pousser la moustache peut aider à lutter contre le cancer de la prostate ainsi que d'autres maladies masculines. Ce n'est pas une blague, mais une opération très sérieuse lancée en Australie sous le nom de Movember, une contraction en anglais de november et de mo, argot pour moustache.

    Le principe est simple : les participants se rasent de près le 1er novembre, puis se laissent pousser la moustache jusqu'à la fin du mois. L'apparition de poils au-dessus de la lèvre supérieure provoque la surprise des interlocuteurs et permet de lancer spontanément la conversation sur Movember, puis de faire parler des maladies masculines, cancer de la prostate en tête, et enfin de lever des fonds pour la recherche et l'accompagnement de ces maladies.

    «Cette campagne est un moyen amusant et humoristique de faire passer un message tout à fait sérieux», résume Bill McIntyre, porte-parole de Movember à Londres. Le mouvement a démarré un peu comme une blague au sein d'un groupe d'amis à Adélaïde, en Australie, avant d'être repris depuis 2004 par la fondation caritative Movember, qui gère l'expansion du mouvement dans quatorze pays. Cette année, près de 590.000 hommes se sont inscrits sur le site movember.com pour essayer de récolter des dons, un chiffre en croissance de plus de 30 % en un an.

    » Vidéo annonçant l'opération «Movember 2011» :

    Le mouvement est déjà très actif dans le monde anglo-saxon, où il a récolté à ce jour 123 millions d'euros, mais fait son arrivée dans d'autres pays, comme la Belgique et l'Espagne. «Nous sentons un intérêt croissant en France, et nous avons l'intention d'y lancer sérieusement Movember l'année prochaine», promet Bill McIntyre.

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  •  

    Article publié sur le site UNICEF le mercredi 26 octobre 2011
    Modifié le lundi 31 octobre 2011

     

    Ensemble, contribuons à éliminer le tétanos

    Du 1er novembre au 31 décembre 2011, Pampers s’engage à donner un vaccin contre le tétanos maternel et néonatal pour chaque paquet acheté.

     
     

    Ensemble, contribuons à éliminer le tétanos

    La vaccination antitétanique est extrêmement efficace et permet une protection quasi parfaite.
     
     
     

    Devenez Parent des Enfants du Monde avec Pampers

    En devenant un donateur régulier de l'Unicef aujourd'hui, vous rejoignez les milliers d'autres "Parents des Enfants du Monde" qui eux aussi ont décidé de donner tous les mois, afin de permettre aux enfants vulnérables de grandir dans les meilleures conditions possibles.

     

    Le tétanos est une maladie infectieuse souvent mortelle, transmise par une plaie profonde ou légère. Le tétanos est notamment contracté par les mères et leurs bébés à la naissance, via le cordon ombilical, faute d’accès à des conditions d’hygiène adéquates. Dans 95% des cas, la bactérie entraîne le décès du nourrisson dans les jours qui suivent sa naissance.

    Aujourd’hui 130 millions de mères et leurs bébés sont encore menacés par cette maladie, pour laquelle existe pourtant un vaccin efficace.

    C’est tout l’enjeu de l’engagement de Pampers aux côtés de l’Unicef depuis maintenant 5 ans : éliminer le tétanos maternel et néonatal grâce à la vaccination.
    Cette année encore, en participant à l’opération « 1 paquet acheté = 1 vaccin contre le tétanos du nourrisson », du 1er novembre au 31 décembre 2011 dans les magasins participant à l’opération, les mamans pourront soutenir d’autres mères et leurs bébés.
    Les marques Ariel, Dash, Ambipur, Gama, Ace, Lenor, Swiffer, Febreze et Oral B s’associent également à cette opération et s’engagent à aider à éliminer ce fléau.

    Pour aller plus loin, chacun pourra également participer à l’opération « 1 like = 1 vaccin contre le tétanos du nourrisson » : à chaque vidéo Pampers-Unicef likée sur le site www.pampers.fr ou sur la page Facebook de Pampers France, la marque s’engage à offrir un vaccin à l’Unicef.

    Un grand merci pour votre mobilisation ! Grâce à la solidarité de tous les parents qui ont soutenu l’opération « 1 paquet = 1 vaccin contre le tétanos du nourrisson » entre 2006 et 2010, 300 millions de vaccins ont été financés permettant à 100 millions de mamans et leurs bébés d’être protégés du tétanos dans 21 pays ! Des avancées majeures ont pu être réalisées mais on a encore besoin de vous !

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  • Publié sur le site de l'UNICEF le jeudi 03 novembre 2011
    Modifié le mardi 08 novembre 2011

    Delfina : ne plus avoir à marcher pour de l’eau potable…

    L’histoire de Delfina Amade, jeune Mozambicaine de 12 ans, qui a désormais accès dans son école située dans une communauté isolée, à de l’eau potable, des toilettes séparés filles/garçons et de quoi se laver les mains !

     
    Delfina : ne plus avoir à marcher pour de l’eau potable…
    Grâce à vos dons, Delfina (devant) et ses camardent peuvent... se laver les mains à la sortie des toilettes !
     

    Votre don


    50€ = par exemple 350 savons de 110g
    70€ = par exemple 1 pompe à main (profondeur 20 m)
    460 € = par exemple 1 réservoir de distribution d’eau potable avec 6 robinets
    2 305 € = par exemple l'installation d'une pompe manuelle pour puiser de l'eau jusqu'à 80 m de profondeur


    Au Mozambique…


    En zones rurales,
    29% de la population seulement utilise des sources d’eau potable améliorées
    4% de la population seulement utilise des installations sanitaires améliorées

     

     

    A quoi d'autre ont servi vos dons ?
    Voir d'autres articles "Votre don en action"

     

     

    C’est l’heure de la récréation pour Delfina et ses camarades de l’école primaire Manica, au sud du Mozambique. La petite fille de 12 ans se souvient qu'il y a encore 1 an, elle devait marcher plus de deux kilomètres aller-retour pour aller boire pendant la pause. « Et ce n’était pas seulement la distance, explique-t-elle. Comme cette pompe était la seule source d’eau de toute la communauté, il y avait souvent la queue ! Et puis ont était tenté de s’attarder bavarder avec les voisins ou la famille rencontrés là-bas ou en chemin… » Pas vraiment idéal comme conditions d’apprentissage.

    Aujourd'hui, Delfina n’a pas loin à aller si elle a soif : il y a une pompe à eau potable toute neuve dans la cour de l’école ! En effet, avec l'aide de l'Unicef dans le cadre du programme « Ecoles amies des enfants », des pompes à main ont été installées dans neuf écoles primaires de communautés isolées de la province de Buzi, permettant ainsi à environ 3150 écoliers et 4500 personnes vivant dans des communautés voisines d’avoir accès à de l’eau potable.

     

    L’accès aux services d’hygiène de base à l’école…

     

    Mais ce que préfèrent Delfina et ses copines de classe, Afua 13 ans et Ana 12 ans, ce sont les nouvelles toilettes, où les filles sont séparées des garçons et où l'on peut se laver les mains. Elles font d'ailleurs toutes les trois partie du « Comité sanitaire scolaire », récemment créé. Leur rôle : sensibiliser leurs camarades à de bonnes pratiques d’hygiène, comme boire de l’eau potable, se laver les mains, maintenir les installations propres…

    Le programme "Ecole amie des enfants", en place au Mozambique depuis 2006, permet non seulement à 300 000 enfants de suivre une scolarité dans 750 écoles du pays, mais aussi de le faire dans de meilleures conditions, avec un accès à des services d’hygiène de base : les enfants peuvent ainsi se consacrer plus assidument à leur scolarité, dans un environnement sanitaire sûr.
    Parmi les interventions de l’Unicef et ses partenaires, la réhabilitation ou la construction d'écoles avec des sanitaires et un accès à l'eau potable, la promotion de l'éducation à la santé et aux pratiques d’hygiène, la fourniture de matériel scolaire, la promotion de méthodes d'apprentissage adaptées aux enfants ou encore la protection des enfants vulnérables et des orphelins.

     

    … pour tous !

     

    Malheureusement, encore trop d’enfants aujourd’hui au Mozambique ne vont pas à l’école, souvent parce qu’ils passent une grande partie de leur journée à parcourir des kilomètres pour se procurer de l’eau. Et ils sont encore plus nombreux à ne pas avoir accès à l’eau potable ou à des toilettes : dans les zones rurales, 29% de la population seulement utilise des sources d’eau potable améliorées, et 4% utilise des installations sanitaires…

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  • Article paru le 08 novembre 2011, sur le site de CARE

    En Afghanistan, le défi de l'éducation.

     

    Photo : Kate Holt / CARE

    Ci-dessous un article paru mardi 8 novembre 2011 dans La Croix, signé par le journaliste Olivier Tallès qui a interviewé Philippe Lévêque, directeur général de CARE France, sur les interventions de CARE en Afghanistan.

    " Dans un pays grignoté par la loi des Talibans, ouvrir des écoles pour les filles est une bataille.

    En Afghanistan, pour ouvrir une classe de filles, il faut braver la corruption, la guerre, les préjugés, l'hostilité des Talibans, le scepticisme croissant des donateurs internationaux.
    Dix ans après la chute du régime taliban, des progrès ont été accomplis. En 2001, 5 000 filles étaient scolarisées. Aujourd'hui, elles sont 2,5 millions.
    Plus de 5 000 écoles ont été construites. « Mais beaucoup sont des coquilles vides ou manquent de matériels et de professeurs compétents », regrette Philippe Lévêque, le directeur général de l'organisation CARE.

    Pour combler le vide, l'ONG pilote des projets dans la ville de Khost, à l'est de Kaboul. Il s'agit à la fois de former des enseignantes, et d'assurer des cours dans 14 écoles secondaires de la commune. Des programmes en lien avec les objectifs du ministère afghan pour l'enseignement secondaire. Cette mission vise à délocaliser quelque peu l'aide de Kaboul. C'est en effet dans la capitale, surpeuplée, que s'est concentré l'essentiel des actions ces dernières années.
    Avec la détérioration croissante des conditions de sécurité, les risques d'enlèvement, les vols de véhicules, le racket, les humanitaires avaient renoncé peu à peu à intervenir au coeur des campagnes. Autre frein à l'éducation des filles, la progression des insurgés talibans. Quand les rebelles prennent le contrôle d'un territoire, il n'est pas rare qu'ils ferment un établissement féminin et renvoient leurs professeurs.
    « Il y a deux grands risques pour l'aide en Afghanistan, précise Philippe Lévêque : l'effondrement des financements et la détérioration de la sécurité. »

    Positionnée sur des actions de développement comme d'urgence, CARE y a conservé un dispositif important avec 20 expatriés et 2000 salariés locaux. Présente dans près de 70 pays en Afrique, en Asie, en Amérique latine, au Moyen-Orient et en Europe de l'Est, l'ONG est l'une des plus anciennes et plus importantes organisations de secours dans le monde. "

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  •  Article paru sur le site Movember (Belgique)

    C’est le mois de la moustache !

    Tous les ans au mois de novembre, Movember invite les hommes du monde entier à se laisser pousser la moustache pour sensibiliser l’opinion publique aux maladies masculines et recueillir des dons.

     Les premières moustaches Movember ont poussé en Australie en 2003 et sont depuis célèbres dans le monde entier pour leur combat pour la santé masculine. Movember mène des campagnes officielles en Australie, Nouvelle-Zélande, Irlande, Afrique du Sud, Finlande, Belgique, Norvège, République Tchèque, au Royaume-Uni, Canada, Danemark, aux Etats-Unis et aux Pays-Bas. Movember n’aurait jamais pu atteindre une telle ampleur sans l’engagement de ceux qu’on appelle les Mo Bros et de celles qui les soutiennent, les Mo Sistas.

     

     


     


    Le 1er novembre, des hommes rasés de près s’inscrivent sur Movember.com et deviennent des Mo Bros en taillant et entretenant leur moustache le reste du mois. Avec le soutien de leurs compagnes, les Mo Sistas, les Mo Bros de Movember recueillent des dons et cherchent des mécènes. À la fin du mois, les Mo Bros et les Mo Sistas célèbrent leurs efforts de sensibilisation et de recueil de dons en organisant une fête Movember où les titres tant convoités de Miss Movember et Man of Movember sont décernés dans la joie et la bonne humeur.

     

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